Kallisto, 17 ans, et ses chaussures impossibles à décrire

〈If I believe I can do anything〉

Kallisto

Alchimiste Classe
Half-Beast Race
OC Feat

Flèche de vent ― Sort visant une seule cible, pouvant couper celle-ci grâce à sa bourrasque ciblée à haute pression
booster ― Accélère la cible, lui permettant d’agir plus vite
Récup ― Redonne régulièrement un petit pourcentage de points de vie à la cible durant cinq minutes
Cristal élémentaire feu ― Mélange simple de force équivalente aux sorts faibles
Cristal élémentaire foudre ― Mélange simple de force équivalente aux sorts faibles

Affinité élémentaire : vent , foudre & soutien
Arme : Wakizashi de 30cm ― sans enchantement
Familier : Lapin des glaces ― sans compétence ni accessoire (pour l’instant)

Physique Primeta

Sur Primeta, Kallisto est une jeune Half-Beast lapine mesurant 1m62… Sans les oreilles. Elle n'a jamais vraiment pris le temps de les mesurer, mais elle dirait qu'elle a environ 16 centimètres d'oreilles fièrement dressées sur le haut de son crâne, recouvertes de courts poils doux de la même teinte rouge foncée que ses cheveux.
Sa coupe est au final la même que sur Terria, mais elle se différencie surtout par la coiffure, ses cheveux étant relevés en deux chignons juste en dessous de ses oreilles, le tout décoré de rubans bleus ciel pendants en dessous desdits chignons, juste assez long pour qu’elle se retrouve avec ces saloperies dans la bouche dès qu’il y a trop de vent où qu’elle court. Honnêtement, elle se demandait parfois si elle ne devrait pas au moins les raccourcir, parce que c’était pas toujours très pratique en plein combat.

Bon en vrai c’est le gros problème de sa tenue, ça, les rubans trop longs qui s'emmêlent de partout. Mais on n'en est pas encore là !

Bref.

Sa frange se retrouve parfois à cacher (re: le vent, c’est chiant) ses grands yeux bleus aux reflets quelque peu violets, qui ont comme particularité d’avoir la pupille… en forme de cœur. Oui bon hein, c’était une des options à la création de son personnage, c’était mignon, ça lui faisait pas trop étrange à voir sur son corps (parce que bien sûr, son personnage lui ressemble irl) et c’était assez discret. Et puis bon, si elle se retrouvait un jour avec un copain sur SoH, il pourrait toujours dire qu’elle le regarde avec des cœurs dans les yeux.

On divague carrément là.

Bref, le reste de son corps est plus ou moins pareil que sur Terria : peau relativement pâle qui montre bien quand elle rougit, fossettes de chaques côtés de sa bouche quand elle sourit, presque les dents du bonheur (pratique pour le fil dentaire), une petite queue de lapin à la fin de sa colonne vertébrale… Ah nan ça elle l’a pas irl. On lui avait d’ailleurs pas dit à la création de son personnage à quel point c’était étrange de s'asseoir dans un canapé et de sentir la petite boule de poil être toute écrasée contre le dossier, squish que ça faisait presque dans ces moments là. Heureusement que tout vêtement et tout le bordel atterrissait immédiatement dans son inventaire avec les modifications nécessaires à sa race, hein.

Bref, sa tenue !
Vous voyez une magical girl ? N’importe laquelle. Bah voilà, c’est dans ce style là.

Ses bras sont recouverts de manches pas attachées à sa robe, le genre de truc qui irl ne tient pas du tout sauf si tu met une tonne cinq de colle à bas ET des bandes antidérapantes, surtout qu’elles ont plusieurs épaisseurs de doublure en tissus fin et léger donnant une impression de froufrous au bordel. Bien sûr, comme par magie, elles tiennent toutes seules avec de simples rubans assortis à ceux de ses chignons. (Comptage de rubans: 4)

Sa robe aussi était un mystère en fait, parce qu’elle n’avait jamais eu à l’enfiler normalement. Il devait bien y avoir une boutonnière cachée quelque part pour rendre la chose simple, et elle devait probablement se passer par la tête, mais vu que Kallisto n’avait qu’à la sélectionner dans son inventaire ou ses équipement pour la mettre ou la retirer…

Bref, c’était une petite chose mignonne blanche à dos nu, cette partie là, d’après internet, aurait des ourlets festonnés. Bon en gros: c’est des demi-cercles. C’est très joli, mais honnêtement c’est galère à bien dessiner de certains angles. Ahem.
Autour de son cou se trouve un col de chemise, relié à la robe, ce qui lui donne un petit air de playgirl en fait. Le col a un bord bleu (comme les rubans) et, bah, un deuxième bord lilas lui aussi festonné, assez fin. Passé dans ce col est un gros ruban, toujours bleu, avec en son centre une broche d’or surmontée d’une pierre ressemblant à une pierre de lune, juste plus lilas. (Comptage de rubans: 5)

La robe, assez courte pour pouvoir être appelée une version mini de la chose (elle s’arrête quand même au-dessus de la mi-cuisse, hein. Pas très logique pour une tenue de combat), a des plis creux sur tout le tour et un épais bord lilas. La jupe est doublée d’un tissus tout aussi blanc que la robe, fin et doux et probablement froncé, mais c’est pas comme si la demoiselle avait retourné la robe pour étudier la doublure donc… Pas sûr pour ça, hein.

Oh. Et il y a un énorme nœud (bleu, toujours) dans son dos là où le tissu se remet à couvrir sa peau. Noeud, qui, bien sûr, se continue en un long ruban lui arrivant au moins à la mi-mollet, ayant un bord lilas, encore une fois. Re: rubans qui s'emmêlent de partout, même avec les enchantements qui devraient empêcher ça. (Comptage de rubans: 6)

Ses jambes sont recouvertes de bas blancs à l’ourlet portant probablement un autre nom que festonné parce que plus pointu, une bande d’environ un centimètre et demi lilas en dessous dudit ourlet inconnu. Au final, ça lui permettait d’étrangement ne pas montrer énormément de peau malgré la mini robe au dos nu.

Pour compléter le tout, et parce que c’est quand même plus pratique avec des chaussettes blanches, la demoiselle porte des bottines bleues décorées (ou fermées??? Aucune idée) de rubans lilas pour changer. (Comptage de rubans: 8)
Ses semelles et talons sont faits d’un métal ressemblant à de l’or, juste… très solide. Assez pour ne pas se casser sous son poid ni ramollir dans les zones plus chaudes. Les talons se prolongent en trois… bandes… Pics… trucs toujours “d’or”, très légèrement ondulés. Honnêtement, ces chaussures pourraient très bien être utilisées en arme. Et elles ne sont probablement pas très confortables… Vive la magie?

Kallisto, 17 ans, et ses chaussures impossibles à décrire Ss5x

Nom:
Kagome
Prénoms:
Izumi Kallisto
Genre:	Date de naissance:
Féminin	22/06/X341
Pays de naissance:
Sidus

Ft. OC

Physique Terria

Bref, vous l’aurez compris: Izumi a plus ou moins la même tête sur Terria et sur Primeta, les attributs de lapins en moins.
Un mètre soixante-deux, taille fine, poitrine juste comme il faut pour pas avoir mal au dos tout en étant là, hanches un peu plus larges que son buste, muscles presques visibles sous une jolie peau, des jambes paraissant longues malgré sa taille pas super grande (faut être honnête), prothèse à la jambe droite.

Ah.

Oui. Ca.

C’est probablement la plus grosse différence entre ses apparences, en fait, ça. On s’y attend pas trop, ou quelque chose comme ça. Pas comme si elle le savait vraiment vu qu’elle n'a jamais fait de rencontres irl avec des amis de SoH, mais Izumi en était sûre: personne ne s’attendrait à la voir avec une prothèse remplaçant sa jambe droite à partir d’un peu au dessus du genou. C’est un truc vachement high-tech en plus, le genre de bordel qui coûte une fortune mais que tu comprends pourquoi parce que tu sens la qualité au point de parfois oublier que c’est là, jusqu’à ce que les douleurs fantômes te fassent presque hurler en pleine journée alors que t’as encore la prothèse de bien mise en place. C’est le seul truc que les scientifiques n’ont pas encore maîtrisé : relier les nerfs à la machine qui sert de membre pour avoir l’impression de vraiment avoir un truc au bout du moignon et pas juste un bout de plastique scotché là. En vrai, ça lui faisait un peu le même genre de sensation que quand elle portait de longs faux ongles au dessus de ses vrais cassés/coupés courts.

Visuellement, la prothèse fait presque… mecha. D’une couleur gris foncé, fait d’un matériel dont elle ne se souvient pas (probablement un alliage. Peut-être avec de la fibre de carbone??? Vraiment, aucune idée.) qui est lisse au touché et jamais super froid, le truc peut se retirer à partir du niveau du genoux pour se recharger et se recalibrer et se remet facilement en place, vérouillé grâce à l’espèce de rotule de forme plus ou moins hexagonale. Autour de l’articulation du genou et de la cheville se trouve un autre matériel remplaçant le gris, bleu celui-ci et plus souple, permettant des mouvements identiques à ceux de sa jambe valide.

Mais voilà, vous vous en douterez bien, cette prothèse n’est pas là seule. Vous verrez, surtout sur le côté droit de la miss, des cicatrices plus ou moins grandes et visibles. Alors, pour les cacher, Izumi a sa frange asymétrique qui cache celles sur sa tempe et devant son oreille. Ses hauts ont presque toujours des cols montants, camouflant une cicatrice montrant qu’elle avait failli mourir, seulement quelques petits millimètres à côté de sa jugulaire. Ses bras ont été assez épargnés, tout comme le reste de son visage qu’elle avait eu le réflexe de protéger du mieux qu’elle pouvait, la matière épaisse de son sweat ce jour là l’ayant protégé.

Alors, pour récupérer une féminité qu’elle avait l’impression d’avoir perdue en même temps que sa jambe, Izumi porte des vêtements que certains diront presque trop sexy pour une fille de dix-sept ans. Elle porte un petit haut rose plutôt pâle (rose chair? rose thé?) assez semblable à une brassière de sport de par sa longueur et sa matière, sans manche et au col montant, ayant une ouverture juste en dessous dudit col montrant ses clavicules et un peu son décolleté, rien d’énorme mais ni de vulgaire mais juste assez présent pour qu’on la regarde là plutôt que de fixer sa prothèse (même si y’avait rien d’inédit à voir une personne avec une prothèse comme la sienne, en fait.), le genre de truc que t’aime porter jusqu’à ce que tu te retrouves sous une averse sans veste ni parapluie.

Son ventre, lui, est dénudé, montrant sa peau qui par chance était restée lisse, dénuée de toute cicatrice, même pas celle de l'appendicite. Même si d’autres vêtements prennent le relais un peu plus haut que le niveau général de cette cicatrice là. Une espèce de demie-minie-jupe de couleur framboise fermée et maintenue en place par des boucles à clip en plastique noir se trouve au dessus d’un mini short noir, et ok, dit comme ça ça parait assez étrange, mais au final c’était juste une version plus féminine et colorée du style techwear. Plus ou moins. Sa jambe gauche, pour donner une illusion d’uniformité avec la droite, est recouverte d’une grande chaussette noire arrivant au dessus de son genoux, maintenue en place par un semblant de porte-jarretelle, même si la logique n’était pas terrible là vu que l’attache était… attachée… à une bande portée mi-cuisse juste au dessus de la chaussette.

Des bottes de combat à talonnettes d’environ quatre centimètres viennent compléter la tenue, lui permettant au passage un bon maintien de la cheville. D’ailleurs, tant qu’on parle des chaussures: la demoiselle a remplacé les lacets classiques noirs par des bleus très, mais alors très clairs, qu’elle lace en passant autour de son mollet une fois avant de faire la boucle devant. Les lacets étaient trop longs et, ironiquement, la miss n’aime pas trop avoir des boucles trop longues aux chaussures irl.

Oh, et pour finir: la miss porte toujours quelques bijoux, comme ses deux boucles d’oreilles au lobe gauche (une longue en métal normalement assez sombre mais qui prend de belles couleurs argentées sous la lumière et une autre, plus petite, qu’elle change régulièrement. Une de ses préférées est un simple petit cœur doré.), ainsi que son collier simple et discret fait d’une simple chaîne d’argent et d’un pendentif en forme de goutte en pierre de lune. Elle porte également la plupart du temps une montre connectée au poignet droit, mais honnêtement il lui arrive souvent de l’oublier avant de sortir.

Bon et dans les détails à la con: la miss aime bien se maquiller, portant régulièrement mascara, eyeliner et gloss et se mettant assez souvent du vernis à ongles. Tout pour rentrer dans le cliché de la demoiselle bien féminine, elle pensait parfois au réveil en se grattant les abdos de ses ongles parfaitement manucurés avant de mettre cette foutue prothèse.